2012. december 16., vasárnap

Cher Tout le Monde qui refuse la violence et chère Patrícia!





On a tous des idées différentes de la violence et du fait qu'une relation auparavant belle comment peut s'aggraver à tel point et peut faire autant du mal. On demande souvent pourquoi une femme ne voit pas qu'il faudrait fuir déjà son compagnon, pourquoi elle reste et supporte des telles épreuves. Ceux qui ne s'étaient pas retrouvé dans une telle situation disent souvent que non « moi, au contraire, je n'aurais jamais toléré cette situation ».

C'est la pensée raisonnée de ceux qui regardent de l'extérieure et qui n'ont jamais rencontré une femme qui a espéré durant des années que l'homme aimé auparavant deviendra de nouveau comme quand ils ont commencé leur vie ensemble. Patri est une femme intelligente et belle qui n'a essayé qu'espérer que leur fils puisse grandir dans une famille heureuse qui fonctionne bien. Est-ce que c'est un problème qu'elle avait de l'espoir ? Ce n'est pas bien qu'elle a quitté son pays et a donné de nouveau une chance au père de son fils ? Elle a essayé mais ça n'a pas marché ! Deux adultes quand ils voient que leur relation ne marche plus, se mettent d'accord plus ou moins difficilement et ils ferment le passé commun.

Les agressés ne peuvent pas agir ainsi car ils deviennent la propriété désarmée d'une autre personne qui exerce de punition, de chantage et du terreur mental que les autres ne peuvent pas imaginer que d'après les films. La vraie peur ne commence pas au moment où on étrangle la gorge de quelqu'un jusqu'à priver de souffle mais quand l'élimination psychique de l'autre débute ce qui est bien plus effrayant que la douleur physique. Le femme se retrouve dans une « prison » qui est plus forte que tout fil de fer barbelé. Il faut être très courageux pour décider du sorte d'un petit enfant dans un pays étranger, une culture étrangère où l'agresseur peut se déclarer innocent sans aucune conséquence juridique alors qu'il ne fait même pas le compromis de déplacer le procès dans un pays neutre donc même pas celui de Patricia. Il faut être très courageux pour décider du sorte d'un petit enfant qui est en ce moment l'outil de son père sur une île magnifique pour reconquérir la femme « aimée » qu'il considère sa propriété.

L'agresseur n'est pas capable de lâcher. De tout façon, à tout prix, il doit gagner. Il doit gagner en écrasant la mère de son enfant. S'il était capable de penser à son fils, cette affaire ne serait pas allée jusque là car il aurait compris qu'ainsi son fils chaque jour en perd un de son enfance irrécupérable. Jamais, personne ne saurait de le lui rendre car cela est impossible. Cela n'est plus remplaçable ni rachetable. L'amour paternel, si on ne parlait pas d'agresseur, devrait commencer là mais ce n'est pas le cas. Malheureusement cela en a la preuve la plus importante. Malgré tout cela, on y arrivera car les habitants de cette île ne veulent pas associer le nom de leur île avec la violence dans la famille.

Courage Patri, tout le monde est avec toi qui refuse la violence, les autres ne comptent pas.

Erika Urbán
Psychologue de Famille

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