2012. november 25., vasárnap

FRENCH Description


Une mère hongroise et son fils en otage à Bora Bora, en Polynésie française
Le soutien de l’opinion publique est en hausse et les initiatives collectives se sont multipliées face au sort de cette jeune mère et de son fils retenus en otage à Bora Bora, en Polynésie française. Des rassemblements publics récents ont eu lieu ainsi que des appels répétés au gouvernement pour réclamer une intervention et un appui.
WEBWIRE – Mercredi, le 7 Novembre 2012.
Cela aurait pu être un scénario de film hollywoodien, mais malheureusement cela se passe dans la vraie vie d'une mère hongroise et de son fils. Ce qui a commencé comme une dispute familiale au bout du monde a abouti a ce qu’aujourd’hui une jeune mère hongroise et son fils sont retenus contre leur volonté à Bora Bora, en Polynésie française.
Les autorités locales ont menacé la menace la jeune mère effrayée et son petit garçon et ont bloqués leur retour en Hongrie, où la famille et les proches se sont mobilisés pour obtenir leur libération.
Le calvaire de la mère et de l’enfant dure déjà depuis plus d'un an.
Dr F. Mbala Mbala, avocate expérimentée et conseillère juridique auprès du gouvernement français a déclaré que « les autorités locales à Bora Bora n'ont pas de compétence sur ces questions ».
Les tentatives répétées pour communiquer avec les autorités locales ont été ignorées et les procédures juridiques douteuses ont renforcé la jeune mère dans sa volonté de rentrer en Hongrie et mettre fin a ce qui était censé être un bref séjour en famille en Polynésie française. La douleur et la souffrance infligées a la mère et son fils ont été orchestrées par le mari, de qui elle a désespérément essayé de divorcer, ce qui a déclenché la tournure tragique des événements.
Selon les experts juridiques hongrois et français, l'affaire aurait dû être renvoyée à l'un des pays de l'Union européenne, où la mère et l'enfant sont des résidents officiels. Il a été affirmé que la gendarmerie locale n'a cessé de harceler la mère et n'a pas agi lorsque le mari a confisqué les passeports de la mère et de l'enfant afin de les empêcher de rentrer en Hongrie pour revoir leurs amis et la famille.
Les autorités hongroises et les responsables gouvernementaux ont fait tout leur possible pour que l'affaire soit résolue et ils représentent les deux citoyens hongrois dans cette affaire.
Il semble que les autorités françaises ont été mises au courant de la situation et font des enquêtes actives à propos de l'affaire. Le Chef de police de Bora Bora, J. M. Severac n'était pas disponible pour commenter.
La jeune mère, professionnelle du secteur financier, est diplômée en sciences politiques et a auparavant été employée pendant plusieurs années par les plus grandes banques du monde. Au cours de cette longue année tourmentée en Polynésie, elle a été maltraitée physiquement et également agressée et elle est maintenant forcée de travailler en ne touchant que le salaire minimum pour nourrir et héberger son jeune fils. Encore une fois, cela a été orchestré par le mari.
Le soutien de l’opinion publique est en hausse et les initiatives collectives se sont multipliées face au sort de cette jeune mère et de son fils retenus en otage à Bora Bora, en Polynésie française. Des rassemblements publics récents ont eu lieu ainsi que des appels répétés au gouvernement pour une réclamer une intervention et un appui.

2012. november 24., szombat

Patricia's letter - French and Hungarian


For the Hungarian letter: http://borsonline.hu/20121003_bora_bora_poklabol_irt_patricia_


Lettre de Patricia depuis l'enfer de Bora Bora


Comme on en a déjà écrit parmi les premiers, cela fait presque un an qu'une mère hongroise n'arrive pas rentrer en Hongrie avec son fils de l'île de l'Océan Pacifique, de Bora Bora. Selon les affirmations de la femme, son mari l'y a emmenée en la trompant de dire que cela sert pour arranger les problèmes de leur mariage.

Pourtant à la place d'une heureuse fin c'est un cauchemar qui a commencé – nous avons appris de la petite sœur de Patricia. Elle a raconté que le mari a agressé sa grande sœur, il a confisqué son passeport et a détruit les billets d'avion de retour. Même maintenant, il fait tout afin d'enlever leur enfant de la mère en la déclarant folle.
On peut lire la lettre honnête et profondément touchante de Patricia Nyíri-Kovács, envoyée d'une distance de plus que 13 mille kilomètres, la première fois dans son intégralité ici en bas :
« Je voudrais remercier à ma famille et à mes amis qu'ils sont à côté de moi et qu'ils me soutiennent. C'est eux qui me donnent chaque jour de l'énergie et de la force malgré la grande distance qui nous sépare.
Je pense d'avoir tout fait pour ce mariage, pour qu'il marche et pour que mon fils puisse grandir dans un environnement heureux avec plein d'amours. Je ne voulais pas qu'il soit l'enfant des parents divorcés, surtout dans une situation où les parents vivent dans des pays différents. Je me suis beaucoup battu pour mon mari, pour notre mariage et pour moi. J'ai essayé de me calmer moi-même, en me disant que je n'ai pas pris une mauvaise décision quand j'ai choisi cette personne pour mon compagnon.
Ce n'est que maintenant, rétrospectivement que je vois que j'avais la honte d'avouer même à moi-même que j'ai fait une faute énorme et que j'étais très naïve. Je ne nie pas que j'avais peur de l'avis des autres, surtout de ceux de mes parents. J'avais peur de leur réaction si je me décide de me divorcer. Mais – et il est terrible de dire cela – j'avais peur de mon mari, je ne savais pas de quoi il est capable et quand il réalisera ses chantages. C'est ma peur et ma naïveté qui sont les vraies causes du fait que maintenant je dois me battre pour mon enfant dans cette île qui se trouve au bout du monde. Je sais que pour beaucoup cet endroit, la Polynésie française, est le synonyme du paradis. Je pense que cela serait mon cas également si j'y étais un simple touriste. Mais en ce moment, pour moi, cet endroit est égal d'un vrai cauchemar et il faudrait que je m'en réveille rapidement.
Depuis que j'ai pris le choix de vouloir que notre vie avec mon mari se sépare, j'ai toujours cherché une solution normale, ce qui apporte le moins de douleur possible et ce qui fait du mal le moins possible à l'enfant. Mais ce n'était pas possible d'en parler tranquillement avec mon mari. Comme déjà avant, il m'a toujours menacée quand j'ai avancé le sujet.
Je sais que vu de l'extérieure il est incompréhensible qu'après autant d'humiliation physique – car j'en ai eu malheureusement beaucoup – et psychique, pourquoi je suis restée avec mon mari et pourquoi j'ai essayé à sauver notre mariage même dans l'après-dernier moment. En effet, jusqu'à ce que je ne sois pas tombée enceinte, mon mari ne s'est pas comporté ainsi. Bien sûr, maintenant, en réfléchissant rétrospectivement, il y avait des signes avertissants déjà antérieurement, mais une femme amoureuse peut s'en passer facilement, en tout cas moi, j'ai fait ainsi. Notre relation a commencé à se dégrader vraiment quand notre fils, Noah, est né. A partir de ce moment, j'étais exposée tout le temps à ses humiliations. Ce qui était encore pire c'est que pour lui, l'éducation de l'enfant n'était pas une responsabilité commune mais c'était plutôt lui qui a établi les règles. Il a « dressé » notre enfant depuis son petit âge. Il l'a fait se mettre au garde-à-vous, le petit devait obligatoirement le saluer, il l'a fait se baisser, s'agenouiller, il lui a appris comment regarder méchamment et il lui a valorisé l'agressivité. Mon mari, lui-même a dit de plusieurs reprises qu'il ne faut pas que Noah soit proche de moi car cela ferait du mal à l'enfant et par conséquent il ne deviendra pas sain, fort et indépendant. Cependant, mon mari n'a jamais changé une seule fois une couche, la nuit il dormait avec les boules quies afin qu'il n'entende pas le pleur de l'enfant, il ne l'a jamais habillé et même quand Noah  était malade mon mari n'a jamais passé même pas une moitié de nuit à côté de lui. Mon mari, avant la première audition du tribunal, n'a jamais passé une journée entière avec l'enfant.
J'ai essayé plusieurs fois laisser le petit avec lui ou l'inviter à être à trois avec nous mais il l'a toujours refusé, le plus souvent en disant qu'il est trop fatigué. Il ne lui convenait que maximum 10-15 minutes avec des choses agréables, faciles mais jamais plus. Il n'a jamais préparé à mangé ni à moi ni à l'enfant, il s'est fait servir jour et nuit. Il a commencé à regarder uniquement son intérêt au point que les disputes de tout les jours étaient inévitables. J'ai emmené avec moi du Collège reformé de Sárospatak et de ma famille, le système des responsabilités égales et les droits égaux et c'est cela que je voulais et que je veux toujours transmettre à mon fils. C'est alors dans l’intérêt de nous deux que je ne pouvais pas laisser que mon mari nous écrase. Cependant, mon mari a essayé de me faire croire systématiquement, chaque jour que c'est avec moi qu'il y a un problème, il m'a fait de la chantage et il m'a menacée qu'en utilisant sa fortune, il me fera enlever l'enfant. Je n'ai pas osé d'en parler ni à mes parents ni à d'autres personnes, je n'ai demandé d'aide que de sa sœur mais en vain.
Mon mari a tout essayé pour me séparer avec Noah de ma famille. Il n'a pas pu supporter de voir notre relation très proche et l'attachement de Noah aux grands parents. Il m'a répété sans cesse que désormais c'est lui, moi et l'enfant la famille et personne d'autre. Pour moi, la famille signifie la grande famille et je veux que mon fils ait de grand mère et de grand père. Malheureusement, mon mari attaque sans cesse ma famille devant Noah et quand je l'ai de nouveau après une semaine avec son père, il me répète les mauvaises choses qu'il a entendu de son père. Mon mari ne laisse pas que je parle avec Noah quand il est chez lui, je ne sais rien de lui pendant la semaine quand il est chez son père.
Je ne sais pas pourquoi j'ai cru que notre mariage peut s'arranger et notre enfant pourra avoir un père et une mère ensemble. Du moins, j'ai essayé de me faire croire à moi-même. Mais en réalité j'avais très peur. J'avais peur que mon mari réalise son chantage et se suicide avec l'enfant ou il brise notre vie. Et en tant que mère, la seule chose qui est beaucoup plus importante que moi, c'est Noah, c'est sa vie. Si ma vie ne pouvait pas être normale, au moins la sienne puisse être vivable.
A cause de ma peur, aujourd'hui, nous payons, tous les deux, très cher. L'année dernière, après quatre années de vie commune, j'ai pris le décision de me divorcer et recommencer une nouvelle vie normale avec mon fils. J'avais toujours peur mais j'ai compris clairement qu'à côté de mon mari la vie du petit est pénible et sera toujours pénible. Je n'ai jamais pensé que notre véritable calvaire commence au moment où mon mari apprend – à l'aide des moyens malhonnêtes, en installant un logiciel d'espionnage sur mon ordinateur – que je veux le quitter. C'est lui qui m'a avoué d'avoir écouté mes conversations téléphoniques.
Enfin, j'ai pu réfléchir et voir clairement. J'ai compris que même si c'est très difficile à avouer à moi-même, mon mari est une personne menteuse, méchante et un excellent manipulateur. Il a obtenu par fraude que cela soit le tribunal de Polynésie française qui agisse dans notre affaire. Il a déclaré la Polynésie française comme notre domicile fixe, sans mon insu en confisquant nos documents officiels. Novembre dernier, il a confisqué mon passeport et celui de mon fils et il ne m'a rendu le mien qu'après être sûr que je ne peux pas quitter l'île à cause de la procédure juridique. J'ai compris également très lentement que sa motivation unique c'est l'argent, la seule chose à laquelle il est vraiment attaché.
En ce moment, il est en procès contre l'une des plus grandes banques du monde et il espère de pouvoir payer beaucoup moins d'impôt grâce aux réglementations fiscales polynésiennes ,s'il gagne le procès. Ce n'est pas son désir d'être riche qui me dégoute mais plutôt le fait que c'est la seule chose qui lui est importante. Dans ma famille je n'ai jamais souffert de privation mais j'ai appris que ce sont les qualités humaines qui comptent. Je n'avais jamais besoin de son argent. Puisqu'il n'a jamais dépensé de l'argent pour moi ou pour l'enfant c'est moi qui a tout acheté. Je l'ai trouvé bizarre mais je n'ai pas fait de scandales car j'avais un travail bien payé. Je ne sais pas pour quelle raison il fait des économies mais aujourd'hui je vois déjà que c'est la chose la plus importante de loin pour lui, tout et tout le monde n'est qu'un moyen pour en avoir plus.
Je ne veux pas que cette personne manipulatrice, agressive, insensible et qui viole la lois puisse éduquer un adulte de notre fils. Je voudrais que le procès se déroule d'une manière transparente soit en France – car mon mari est de nationalité française – mais davantage en Hongrie. En ce moment le petit passe chaque deuxième semaine avec son père. Dans une situation normale cela est tout à fait acceptable, mais mon mari fait du mal chaque fois à mon fils. Mon fils pleure en hurlant chaque fois quand je dois le donner à mon mari. En plus, mon mari dans ces situations n'essaie pas le calmer mais claque violemment la porte de la voiture sur le fils de trois ans qui ne veut pas quitter sa mère. Je ne veux pas que cela continue ainsi !
Il est possible que j'étais dans toute cette affaire incroyablement naïve mais en m'écoutant peut-être d'autres femmes qui sont dans une situation pareille peuvent apprendre de ma naïveté, des mes fautes. Elles peuvent apprendre à travers mon cas qu'il est erroné d'essayer à sauver un mariage à tout prix. Mon enfant a besoin de l'amour, de paix et de calme. Je pense que c'est mieux pour lui d'être avec une mère naïve qu'avec un homme qui considère son enfant comme un objet. La même façon qu'il a fait avec sa femme à partir de sa grossesse. Je voudrais récupérer nos affaires personnelles. Les jouets de mon fils, nos livres, nos meubles, mes vêtements et mes documents que mon mari – qui n'a pas de domicile déclaré en France alors qu'il est de nationalité française – a fait fermer l'année dernière dans un dépôt à Paris dont j'ignore la localisation précise.
Je voudrais récupérer mon fils, je veux qu'on puisse récupérer tout les deux notre liberté et notre vie normale, calme, tranquille, digne à une personne européenne. C'est la raison pour laquelle je me suis tournée vers le publique international et je demande de l'aide. »

2012. november 23., péntek

Raising awareness - NOT without my son on Facebook

We need all the help possible to promote this page, in order to get international attention. So please if you have contacts or ideas as to where to send this story to raise awareness (NGOs, women's rights associations, children's rights associations, advocates.....) please go ahead. The information is in the "About" section and a french version is on its way. Two Hungarian citizens are being held back by French Polynesian authorities from returning to Europe. This is no longer a private matter, and no longer about a simple divorce. French Polynesia has no jurisdiction in their case. Please spread the word. Thank you

The hearing of 22nd November was adjourned to the 16th of January...another hard 2 months await Patri and Noah...

Please support us on Facebook:
http://www.facebook.com/NotWithoutMySon

Press conference, Budapest - November 2012

Patricia's French lawyer from Paris, Dr. Felicite Mbala joined our family at a Press Conference, to raise awarness of the issue. We thank her and we thank the press for participating and covering the story in a very respectful manner.

Patri and Noah haven't been able to come home for over a year

Please see article:
http://www.webwire.com/ViewPressRel.asp?aId=164311



Hungarian mother and son held hostage in Bora Bora, French Polynesia 

Public opinion and community support is rising for the plight of this young mother and her son held hostage in Bora Bora, French Polynesia with recent public rallies and appeals to the government for intervention and support. 
WEBWIRE – Wednesday, November 07, 2012
It reads like a Hollywood script but tragically it is happening in real life to a Hungarian mother and son.  An ongoing family dispute, halfway around the world has resulted in a young Hungarian mother and her son being held against their will in luxury getaway location Bora Bora, French Polynesia.
Local authorities have harassed the frightened mother and young boy and blocked them for returning home to Hungary, where family and supporters have been lobbying for their release. 
The torment for the two has been ongoing for over a year now.
 Dr. F.  Mbala Mbala, an experienced Barrister and legal counsel to the French Government has commented that “local authorities in Bora Bora have no jurisdiction on these matters”. 
Repeated attempts to communicate with local authorities have been ignored and questionable legal processes have further compounded the young mother’s attempts to return home to Hungary from what was supposed to have been a brief family holiday. The pain and suffering inflicted on the two has allegedly been masterminded by her husband, who she has desperately been trying to divorce which has triggered these turn of events. 
According to both Hungarian and French legal experts, the case should have been referred back to one of the countries of the European Union, where both mother and child are official residents. It has been claimed that the local Gendarmerie, have continuously harassed the mother and failed to respond when the husband confiscated the mother and young boy’s passports, preventing mother and child from traveling to see family and friends and return home. 
Hungarian authorities and government officials have been doing everything within their power to have the case resolved and represent the two Hungarian citizens in this matter. 
It is understood that French officials have now been made aware of the situation and are making active enquiries into the handling of the matter.   Bora Bora’s police Chief, J. M. Severac was unavailable for comment. 
The young mother, a financial industry professional with a degree in political science and years of experience with some for the worlds largest banks, has also been physically abused and assaulted over the course of her year-long torment and is now forced to work for minimum wages just to feed and accommodate her young son. Again, this appears orchestrated by the husband.

Public opinion and community support
 is rising for the plight of this young mother and her son held hostage in Bora Bora, French Polynesia with recent public rallies and appeals to the government for intervention and support. 

Sympathy Gathering at the French Embassy in Budapest - September 2012


Pictures: Szabolcs Birton - Bors

On September 27 2012 friends and family of Patricia and Noah lined up in front 

of the French Embassy in Budapest to show support and sympathy for Patricia and Noah, two Hungarian citizens who have been unlawfully blocked by husband and later by French Polynesian authorities from returning to their only official and registered home they have in this world. The French Polynesian Court handling their divorce case has NO jurisdiction; therefore they cannot keep them in a place they do not belong. 
260 people signed a petition, among others calling on 
- Authorities to handle this issue in a European fashion considering all three citizens involved are EU citizens
- To treat Hungarian citizens as equals to French citizens
- Investigate Patricia’s denunciation of moral and physical abuse, child abduction, forceful entrapment and confiscation of passports
- Investigate the falsification of public documents by husband 
- Investigate the French Polynesian Courts jurisdiction 

First court hearing - June 1012

They only spend every other week together from now on. Noah cries every Sunday when at 5 pm he has to leave his mother for a week. No three year old child should be taken away from his\her loving mother by force. The judge ruled dual custody, not knowing the mother's stand and not reading Patricia's papers, because they were handed to the her 5 minutes before the start of the hearing by Patricia's lawyer. By then Patricia had reported moral, physical abuse, child abduction and confiscation of passports to the police. How does a judge rule not knowing anything about the mothers side? How is it that the judge they are assigned too is pulled of the case 3 minutes before the beginning of the hearing? How is it possible that Patricia has no time to read her proposal before going to court because her lawyer sends it over the morning of the trial?

Husband cancels tickets back to Europe for the 2nd time! - May 2012

Why does the husband buy tickets under the name of his not yet three year old son??

Husband files for divorce - 2012 April

After husband breaks into Patricia's email account (admitting it) finds out that Patricia is consulting with a lawyer in Paris to file for divorce in Paris, he immediately files for divorce in Bora Bora! He is able to do this after the falsification of public documents, claiming that they are all residents in Bora Bora. Patricia never agreed or never signed any document that claims she or her son Noah are legal residents on the island. The husband illegally used the confiscated passports and registered them as permanent residents. He also predated the date on the official paper. They arrived to Bora Bora on the 18th November 2011, and somehow the document of registry states that they are permanent residents since October 24 2011. How is that possible?? When my sister tells everyone that they do not belong to French Polynesia and they are not residents, no one listens.... 

Husband cancels airplane tickets back to Europe - 2012 March

The three of them had airplane tickets back to Europe which should have been used the latest by March 2012. These were thrown out by husband. It would be worth understanding the motive behind this act. Before going to Bora Bora Patricia and her husband agreed that they are going there for a longer vacation to heal their marriage and let loos after the Fukushima catastrophy which affected their life profoundly, and that they would come back to Europe by March 2012 latest. She wanted to give her ruined marriage a last shot, so she could tell herself she tried everything possible to keep her family together. She was also terrified of the consequences of her not obeying and following her husband who had been threatening her for the past years that if she tried to divorce him he would spend all his money on talking away Noah from her. Noah is the most precious thing in Patricia's life and ever since this darling boy was born she has sacrificed everything for his wellbeing. It is the kind of unconditional love a mother gives her child. When someone starts threatening you with your own child, you keep quite and do as you are told in order to protect him.


Still in Bora Bora - 2012 January

Their passports are still locked up and the authorities are not doing anything. A mother and a child are left alone with no help or protection from local police.

Patricia's parents go to Bora Bora - 2011 December 18

Father of Patricia reports to French Polynesian police that her daughter's and grandson's passports are confiscated by husband. Nothing happens

Passports confiscated





Patricia, husband and Noah arrive to Bora Bora, French Polynesia on the 18th November 2011, two weeks after arrival to French Polynesia Patricia's and Noah's passports are confiscated by husband!!!