2013. július 20., szombat
I adore you Mom...Radio interview
http://www.youtube.com/watch?v=MWFD0yYzaBc
Válópernek maszkírozott bűnügy.
Crime in Divorce Disguise
Nyíri-Kovács Patrícia és fia Lee Noah két éve tartó pokoljárása Francia Polinéziában. A KlubRádióban Kuncze Gábor beszélgetőpartnere Dr. Nyíri Iván.
Two years ordeal of Patrícia Nyíri-Kovacs and her son Noah Lee in French Polynesia. Gábor Kuncze's talking partner is Dr. Iván Nyíri on KlubRádió-Hungary.
Nyílt levél a Francia Köztársaság Elnökéhez
Francois
Hollande Úr Budapest, 2013 június 28
A
Francia Köztársaság Elnöke
Párizs,
Franciaország
Tisztelt
Elnök Úr!
Mint
az elzászi Kraus-Pierrek egyenes ági leszármazottja írok Önnek, akiket több mint kétszáz éve - sebesült
francia tisztek bujtatásáért - az akkori megszálló hadsereg száműzött a birodalom keleti végébe, a magyarországi
Kárpátokba. Tisztességes magyar családom azóta is büszke tettére és francia
eredetére. Így nem véletlen, hogy apám a 30-as évek elején a Sorbonne
jogászhallgatója volt, idősebb lányom Patrícia pedig , - a Francia Állam
ösztöndíjával - kitűnő eredménnyel szerzett mester fokozatot a Párizsi Sciances Po-n és kezdett
el dolgozni a Societe Generale-nál Párizsban, majd folytatta nagy tekintélyű
pénzintézetüknél Tokyoban illetve New Yorkban. Itt ismerkedett meg francia
állampolgárságú, koreai származású, de japán tudatú leendő férjével, Soo IL Lee
Úrral.
A
házasságból 2009-ben született kisfiúk, Noah Lee és lányom Nyíri-Kovács
Patrícia ma foglyok Francia Polinéziában, Bora Bora szigetén. Férje csalta őket
oda magyarországi otthonukból fondorlatos módon, csalások sorozatán keresztül , közokirat
hamisítva, - a hatóságokat is
félrevezető - trükkök sorozatának segítségével. Mára, a Lee úr pénze és helyi kapcsolatai által félrevezetett
polinéziai igazságszolgáltatás is
fogolyként kezeli magyar állampolgárságú
lányomat és magyar-francia
állampolgárságú unokámat. Az egyszerű
válópernek tűnő folyamat mögött több bűncselekmény, egy sok millió eurós
adócsalás és egy kitűnő anyától elvenni szándékozott kisgyermek sorsa húzódik
meg, akiből az apa ráadásul nem tisztességes francia-magyar állampolgárt, hanem
valamiféle japán tudatú zavaros identitású felnőttet kíván nevelni.
Amiért,
- eddig már minden lehetséges fórumot megjárva ezúttal - Köztársasági Elnök Urat zavarom levelemmel, az
nem más mint a legfelsőbb politikai hatalom segítségének kérése abban, hogy a Polinéziában joghatósággal
egyébként nem rendelkező és
megmagyarázhatatlan bírósági, rendőrségi és ügyészségi események és jogi trükkök sorozatát felvonultató ügy,- Elnöki
döntéssel - visszakerülhessen Európába,
oda, ahol ennek az ügynek joghatósága van és ahol az igazságszolgáltatás
folyamata semmivel sem befolyásolható kivéve a törvények rendelkezéseinek
erejével.
Elnök
Úr pozitív döntése - kormányának meghirdetett politikájával összhangban -
megállíthatja egy, a családunkat mára teljesen szétziláló adócsalási
trükk sikerre vitelét, életeket ment, továbbá lehetővé teszi egy ma még csak négy éves kis
ember tisztességes európai állampolgárrá fejlődését.
Köszönöm
Önnek és munkatársainak az ügyünkre fordított idejét és azt, hogy francia őseim
iránti tiszteletből is segítő szándékkal kezeli családi tragédiánkat.
Fogadja
Elnök Úr a Francia Köztársaság és személyesen Ön iránt megnyilvánuló
nagyrabecsülésem kifejezését
Dr. Nyíri Iván
Budapest, Magyarország
Lettre a Francois Hollande, Président de la Republique
Monsieur François Hollande Budapest, le 28 juin 2013
Le Président de la République française
Paris, France
Monsieur le Président respecté,
Je vous écris en tant que descendant direct des Kraus-Pierres de l'Alsace, qui ont été relégués par les armées d'occupation au fond de l'est de l'empire il y a plus de deux cent ans aux Carpates hongrois, car ils avaient caché des officiers français blessés.
Ma famille hongroise est toujours fière de cette action et de ses origines françaises. Ainsi, peut-être il n'est pas dû au hasard, que mon père était étudiant en droit à la Sorbonne au début des années trente et ma fille aînée, Patricia, boursière du Gouvernement Français, suite à ses études à Science Po de Paris avec mention excellente, a commencé à travaillé à votre prestigieuse institution financière, à la Société Générale, d'abord à Paris, puis à New York et Tokyo.
C'est dans le cadre de son travail à New York, qu'elle a rencontré son futur mari Monsieur Soo Il Lee, d'origine coréenne, de culture japonaise et de nationalité française. L'enfant issu de leur mariage, Noah Lee, né en 2009 et ma fille, Patrícia Nyíri-Kovács sont aujourd'hui prisonniers en Polynésie française, sur l'île de Bora Bora.
Son mari les a y affriolés de leur maison hongroise de façon rusée, à travers d'une série de fraude, en falsifiant des documents publiques et à l'aide des trucages trompant les autorités. Aujourd’hui les autorités polynésiennes, trompées par l'argent et le réseau local de Monsieur Lee, considèrent aussi ma fille de nationalité hongroise et mon petit-fils de nationalité franco-hongroise comme prisonniers sur leur territoire.
Derrière le processus qui semble être un divorce simple se cachent plusieurs fraudes, une fraude et evasion fiscale de plusieurs milliers d'euros et le sort d'un enfant qu'on cherche à enlever de son excellente mère et de qui le père souhaite éduquer non pas un citoyen franco-hongrois honnête mais un adulte confus d'une quelconque identité japonaise.
Je me permets de solliciter l'aide du Monsieur le Président de la République avec ma lettre – après avoir fait le tour de tout les forums possibles – afin que cette affaire dans laquelle les juridictions polynésiennes n'ont pas de compétences, puisse faire revenir – par une Décision Présidentielle – en Europe où cette affaire a de la compétence juridictionnelle et où le système et les processus juridiques ne sont strictement pas influençables, et sont fondés sur des mesures et dispositions de la loi.
La décision favorable du Monsieur le Président de la République – en accord avec la politique déclarée de son Gouvernement – est en pouvoir d'arrêter ces manœuvres lésionnaires issues des intentions de la fraude fiscale, qui bouleversent complètement notre famille, et peut sauver plusieurs vies ainsi que peut aider ce petit homme de quatre ans à devenir un citoyen européen honnête.
Je remercie infiniment à vous et à vos collaborateurs le temps consacré à notre affaire, et que vous considérez cette tragédie de famille avec sympathie, par honneur aussi de mes ancêtres français.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de toute ma gratitude et de ma très haute considération, ainsi que l'assurance de mon profond respect vers la République Française.
Dr. Iván Nyíri
Budapest, Hongrie
Le Président de la République française
Paris, France
Monsieur le Président respecté,
Je vous écris en tant que descendant direct des Kraus-Pierres de l'Alsace, qui ont été relégués par les armées d'occupation au fond de l'est de l'empire il y a plus de deux cent ans aux Carpates hongrois, car ils avaient caché des officiers français blessés.
Ma famille hongroise est toujours fière de cette action et de ses origines françaises. Ainsi, peut-être il n'est pas dû au hasard, que mon père était étudiant en droit à la Sorbonne au début des années trente et ma fille aînée, Patricia, boursière du Gouvernement Français, suite à ses études à Science Po de Paris avec mention excellente, a commencé à travaillé à votre prestigieuse institution financière, à la Société Générale, d'abord à Paris, puis à New York et Tokyo.
C'est dans le cadre de son travail à New York, qu'elle a rencontré son futur mari Monsieur Soo Il Lee, d'origine coréenne, de culture japonaise et de nationalité française. L'enfant issu de leur mariage, Noah Lee, né en 2009 et ma fille, Patrícia Nyíri-Kovács sont aujourd'hui prisonniers en Polynésie française, sur l'île de Bora Bora.
Son mari les a y affriolés de leur maison hongroise de façon rusée, à travers d'une série de fraude, en falsifiant des documents publiques et à l'aide des trucages trompant les autorités. Aujourd’hui les autorités polynésiennes, trompées par l'argent et le réseau local de Monsieur Lee, considèrent aussi ma fille de nationalité hongroise et mon petit-fils de nationalité franco-hongroise comme prisonniers sur leur territoire.
Derrière le processus qui semble être un divorce simple se cachent plusieurs fraudes, une fraude et evasion fiscale de plusieurs milliers d'euros et le sort d'un enfant qu'on cherche à enlever de son excellente mère et de qui le père souhaite éduquer non pas un citoyen franco-hongrois honnête mais un adulte confus d'une quelconque identité japonaise.
Je me permets de solliciter l'aide du Monsieur le Président de la République avec ma lettre – après avoir fait le tour de tout les forums possibles – afin que cette affaire dans laquelle les juridictions polynésiennes n'ont pas de compétences, puisse faire revenir – par une Décision Présidentielle – en Europe où cette affaire a de la compétence juridictionnelle et où le système et les processus juridiques ne sont strictement pas influençables, et sont fondés sur des mesures et dispositions de la loi.
La décision favorable du Monsieur le Président de la République – en accord avec la politique déclarée de son Gouvernement – est en pouvoir d'arrêter ces manœuvres lésionnaires issues des intentions de la fraude fiscale, qui bouleversent complètement notre famille, et peut sauver plusieurs vies ainsi que peut aider ce petit homme de quatre ans à devenir un citoyen européen honnête.
Je remercie infiniment à vous et à vos collaborateurs le temps consacré à notre affaire, et que vous considérez cette tragédie de famille avec sympathie, par honneur aussi de mes ancêtres français.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de toute ma gratitude et de ma très haute considération, ainsi que l'assurance de mon profond respect vers la République Française.
Dr. Iván Nyíri
Budapest, Hongrie
Court passed its decision
Court passed its decision:
During the court case, "well based" on fraud, falsification of official documents, enforced retention of two Hungarian citizens, all committed by Soo Il Lee, Patri's request to be able to return during Noah's school holidays to their Budapest home for a "visit", was rejected.
In addition she has to pay a compensation of USD 1 625 to Mr. Lee. Equal to her one month's salary.
The moral and psychological annihilation of Patri continues in which the local police takes part as well. She is followed, she is subjected to secret surveillance, she is manipulated, her life is made totally impossible. At a place where they do not belong!
Perhaps she was not exaggerating when she said to a journalist, interviewing her, "... I do not know if we will ever be able to get home alive..."
Just to remind:
"2013, Year of the European Citizen"
During the court case, "well based" on fraud, falsification of official documents, enforced retention of two Hungarian citizens, all committed by Soo Il Lee, Patri's request to be able to return during Noah's school holidays to their Budapest home for a "visit", was rejected.
In addition she has to pay a compensation of USD 1 625 to Mr. Lee. Equal to her one month's salary.
The moral and psychological annihilation of Patri continues in which the local police takes part as well. She is followed, she is subjected to secret surveillance, she is manipulated, her life is made totally impossible. At a place where they do not belong!
Perhaps she was not exaggerating when she said to a journalist, interviewing her, "... I do not know if we will ever be able to get home alive..."
Just to remind:
"2013, Year of the European Citizen"
2013, - Az európai állampolgárok éve / 2013, - Year of the European Citizens
Pénteken hirdet ítéletet a bíróság Patri kérelmével kapcsolatban. Noah közel két hónapos kis-iskolás vakációjának a felét egyetlen hivatalos és valós otthonukban, Magyarországon szeretnék tölteni. Otthonukban, a vakációt, Magyarországon. Döntés pénteken, esti órákban.
...hogy minimum ennyi magyar gyerekkel "örjönghessenek"! Magyarul! Három hétig!......
Court will pass a decision on Patri's request to be allowed to spend half of the almost two months long pre-school holidays of Noah in their only registered, official home in Budapest, Hungary. The holidays, in their home in Hungary! Decision on Friday in the evening hours.
...so they can have fun for at least three weeks! With Hungarian kids! In Hungarian!.....
A Bíróság döntött:
A csalással és közokirat hamisítással, továbbá két magyar állampolgár erőszakos visszatartásával Soo Il Lee által "kellően megalapozott" kereset során elutasították Patri kényszerből beadott kérését, hogy fiával Noahval - az iskolai vakáció alatt - hazajöhessen, budapesti otthonukba, "látogatóba"!
Továbbá, kártérítésként 375 000 Ft-nak megfelelő összeget kell fizetnie Lee-nek. Egy hónapi keresetét!
Folytatódik Patri morális, pszichés megsemmisítése, melyben most már a helyi rendőrség is részt vesz. Követik, megfigyelik, manipulálják és teljességgel lehetetlenné teszik életét. Ott, ahová sem ő, sem fia nem tartoznak.
Talán nem volt túlzás amikor Patri hónapokkal ezelőtt azt mondta az őt kérdező újságírónak,"....nem tudom, hogy valaha élve hazajutunk-e innen..."
Emlékeztetőül:
"2013 az Európai Állampolgárok Éve"
...hogy minimum ennyi magyar gyerekkel "örjönghessenek"! Magyarul! Három hétig!......
Court will pass a decision on Patri's request to be allowed to spend half of the almost two months long pre-school holidays of Noah in their only registered, official home in Budapest, Hungary. The holidays, in their home in Hungary! Decision on Friday in the evening hours.
...so they can have fun for at least three weeks! With Hungarian kids! In Hungarian!.....
A Bíróság döntött:
A csalással és közokirat hamisítással, továbbá két magyar állampolgár erőszakos visszatartásával Soo Il Lee által "kellően megalapozott" kereset során elutasították Patri kényszerből beadott kérését, hogy fiával Noahval - az iskolai vakáció alatt - hazajöhessen, budapesti otthonukba, "látogatóba"!
Továbbá, kártérítésként 375 000 Ft-nak megfelelő összeget kell fizetnie Lee-nek. Egy hónapi keresetét!
Folytatódik Patri morális, pszichés megsemmisítése, melyben most már a helyi rendőrség is részt vesz. Követik, megfigyelik, manipulálják és teljességgel lehetetlenné teszik életét. Ott, ahová sem ő, sem fia nem tartoznak.
Talán nem volt túlzás amikor Patri hónapokkal ezelőtt azt mondta az őt kérdező újságírónak,"....nem tudom, hogy valaha élve hazajutunk-e innen..."
Emlékeztetőül:
"2013 az Európai Állampolgárok Éve"
Garde alternée
Négy éves forma lehettem, amikor először vittek el óvodába. Egerben az Arany János utcaiba. Pár óra múlva elszöktem és sírva rohantam hazáig. Az első hazamenekülést még jó pár követte, mire megszoktam, hogy nem anyámmal, nagyanyámmal és a családommal vagyok. Ennek hatvan éve, de nagyon élőn belém vésődött. Ma is érzem azt a pánikot amit az otthontól való elszakadás okozott.
Noaht hetente szakítják el biztonságot és meleget adó anyjától. Ha összetalálkoznak a faluban, a kis szigeten az apánál töltendő héten, nem mehet oda Patrihoz. Tudja, betartja, csak azért, hogy anyjának nehogy baja legyen. Ilyenkor a torkot szorongató fájdalom van az arcán és kis szeme tele lesz könnyel. Nem bőg, nem hisztizik, csak annyit kérdez, hogy ".....még hány nap Anya míg jöhetek.....?". Ő így tanult meg számolni. Hetes számrendszerben.
Ebben a felnőtteket is próbára tevő helyzetben egy igazi kemény, öntudatos , és a szeretetet minden porcikájával érző, igénylő és átadni tudó, fantasztikus kis ember, igazi férfi növekedését láthatja a külső szemlélő. A sors van akit négy évesen ér utol.
I might have been around four when first was taken to the nursery. In Eger, close to our house. In a few hours I escaped crying and ran all the way home. The first escape was followed by several, until I got used to be away from my Mother, Granny and from my whole family. It happened sixty years ago, but it is deeply engraved in my soul. I can still sense the panic caused by the sudden separation from my home.
Noah is weekly separated from his Mom, from the security and warmth she is providing to him. When they meet in the village on this small island during the week he has to spend with his father, he cannot just run over to Mom and hug her. He knows it and he sticks to it, just not to cause all kinds of problems for Patri. In such occasions one can see a touching sadness on his little face with tears in his eyes. He does not scream, does not cry, just asks "..how many more days Mom until I can come back home to you....?". This is how he learned to count. In the septimal numeration system.
This hard and trying situation shows the observer the fast metamorphosis of this sweet little boy into a truly self conscious, loving and lovable man. Destiny can grab you even at the age of four. Happy Birthday Noah!
Noaht hetente szakítják el biztonságot és meleget adó anyjától. Ha összetalálkoznak a faluban, a kis szigeten az apánál töltendő héten, nem mehet oda Patrihoz. Tudja, betartja, csak azért, hogy anyjának nehogy baja legyen. Ilyenkor a torkot szorongató fájdalom van az arcán és kis szeme tele lesz könnyel. Nem bőg, nem hisztizik, csak annyit kérdez, hogy ".....még hány nap Anya míg jöhetek.....?". Ő így tanult meg számolni. Hetes számrendszerben.
Ebben a felnőtteket is próbára tevő helyzetben egy igazi kemény, öntudatos , és a szeretetet minden porcikájával érző, igénylő és átadni tudó, fantasztikus kis ember, igazi férfi növekedését láthatja a külső szemlélő. A sors van akit négy évesen ér utol.
I might have been around four when first was taken to the nursery. In Eger, close to our house. In a few hours I escaped crying and ran all the way home. The first escape was followed by several, until I got used to be away from my Mother, Granny and from my whole family. It happened sixty years ago, but it is deeply engraved in my soul. I can still sense the panic caused by the sudden separation from my home.
Noah is weekly separated from his Mom, from the security and warmth she is providing to him. When they meet in the village on this small island during the week he has to spend with his father, he cannot just run over to Mom and hug her. He knows it and he sticks to it, just not to cause all kinds of problems for Patri. In such occasions one can see a touching sadness on his little face with tears in his eyes. He does not scream, does not cry, just asks "..how many more days Mom until I can come back home to you....?". This is how he learned to count. In the septimal numeration system.
This hard and trying situation shows the observer the fast metamorphosis of this sweet little boy into a truly self conscious, loving and lovable man. Destiny can grab you even at the age of four. Happy Birthday Noah!
In the middle of the ocean...
Granpa's entry:
Here in the middle of the ocean, thousand kilometres away from anything, the stars on the sky shine like nowhere else on Earth. One evening we went out to the terrace with Littleman to stargaze. He was interested in the Big Dipper in the Cor Leonis, and the Sothern Cross. He already well recognises Jupiter by its shine and cold colour. He is not yet four.
I explained to him, that Jupiter is the guardian of the Earth, saving us from asteroids, - from rocks speeding in space - and from comets, in one word, from all troublemakers.
Based on his interest in dinosaurs, he already well knew that after the impact of an asteroid the sunlight vanished. As a result all green on Earth disappeared, due to the dust, ash and fumes, ejected into the atmosphere, so dinosaurs died out and became extinct.
Three days after our discussion about planets, stars and space - during the evening fairy tale - Noah asked me: "...Granpaa! Why did Jupiter not save Earth from the big rock which made the caused the dinosaurs to die out...?
As I say, he is not yet four years old, - he has been tied to Polynesia for over one and a half years, - at the same time by now he should be visiting the Planetarium, the National Museum, the Zoo, he should be taken to the puppet-theatre, to the movie and I could continue. Here in Bora Bora none of these can develop his mind. He knows it too and talks about it at school to his teachers, to his friends, classmates, that one day he will be able to have it all when he is allowed to return to his home in Hungary. His words are noted by now as he became an international issue and...well,....you never know...!
Daily he asks me to promise that"... you will bring me a passport from Budapest! You will put my name in it stick my photo into it, so from Papeete with the big plain, - where we spend the night and sleep, - can fly home to Budapest!
These are the rare occasions when I have to keep silent. Partly, because I have a big knot in my throat. And partly because I am not able to promise him what he is asking for.
Here in the middle of the ocean, thousand kilometres away from anything, the stars on the sky shine like nowhere else on Earth. One evening we went out to the terrace with Littleman to stargaze. He was interested in the Big Dipper in the Cor Leonis, and the Sothern Cross. He already well recognises Jupiter by its shine and cold colour. He is not yet four.
I explained to him, that Jupiter is the guardian of the Earth, saving us from asteroids, - from rocks speeding in space - and from comets, in one word, from all troublemakers.
Based on his interest in dinosaurs, he already well knew that after the impact of an asteroid the sunlight vanished. As a result all green on Earth disappeared, due to the dust, ash and fumes, ejected into the atmosphere, so dinosaurs died out and became extinct.
Three days after our discussion about planets, stars and space - during the evening fairy tale - Noah asked me: "...Granpaa! Why did Jupiter not save Earth from the big rock which made the caused the dinosaurs to die out...?
As I say, he is not yet four years old, - he has been tied to Polynesia for over one and a half years, - at the same time by now he should be visiting the Planetarium, the National Museum, the Zoo, he should be taken to the puppet-theatre, to the movie and I could continue. Here in Bora Bora none of these can develop his mind. He knows it too and talks about it at school to his teachers, to his friends, classmates, that one day he will be able to have it all when he is allowed to return to his home in Hungary. His words are noted by now as he became an international issue and...well,....you never know...!
Daily he asks me to promise that"... you will bring me a passport from Budapest! You will put my name in it stick my photo into it, so from Papeete with the big plain, - where we spend the night and sleep, - can fly home to Budapest!
These are the rare occasions when I have to keep silent. Partly, because I have a big knot in my throat. And partly because I am not able to promise him what he is asking for.
Az óceán közepén....
Nappapa bejegyzése:
Itt az óceán közepén, ezer kilométerekre bármitől az ég úgy ragyog éjszaka mint sehol másutt! Szinte sütnek a csillagok. Kisemberrel kimentünk csillagot nézni. Érdekelte a Nagymedve, az Oroszlán Szíve és a Dél Keresztje. A Jupitert már fényéről és hideg színéről megismeri. Még nincs négy éves.
Elmeséltem neki, hogy a Jupiter a föld jótevője, mert megment minket az aszteroidáktól, - a világűrben száguldó kőszikláktól, - az üstökösöktől, egyszóval mindentől ami bajt csinálhatna.
A dínók iránti érdeklődése kapcsán azt már korábbról tudta, hogy egy nagy aszteroida becsapódás miatt a légkörbe kilökődött por, hamu füst miatt eltűnt nap miatt nem maradt zöld, amit a dínoszauruszok ehettek volna és kipusztultak.
Csillagvizslatásunk után három nappal, az esti mesénél azt kérdezi Noah"...Nappapa! A Jupiter miért nem mentette meg a földet attól a sziklától ami kipusztította a dínókat?....."
Ahogy mondom, még nincs négy éves, - másfél éve, akrata ellenére Polinéziához van kötve, - ugyanakkor már vinni kellene a Planetáriumba, a Nemzeti Múzeumba, állatkertbe, moziba, bábszínházba és sorolhatnám.
Itt Bora Borán ezek egyike sem csiszolhatja agyacskáját. Ezt ő is tudja és elmondja az iskolájában a gyerekeknek, a tanárainak, hogy mindez megadatik neki egyszer, ha hazamehet Magyarországra. A szavait jegyzik,mert Noah lassan komoly nemzetközi ügy, és....hát... soha nem lehet tudni...!
Naponta akarja megígértetni velem, hogy "...ugye hozol nekem útlevelet Budapestről! Beleírod a nevemet, és a fényképemet is ragaszd bele, hogy Papeetéről a nagy repülővel, amin alszunk is, hazarepülhessek Budapestre....."
Ilyenkor csendben vagyok, nem tudok megszólalni! Részben, mert elszorul a torkom, másrészt, mert ezt nem tudom megígérni!
Itt az óceán közepén, ezer kilométerekre bármitől az ég úgy ragyog éjszaka mint sehol másutt! Szinte sütnek a csillagok. Kisemberrel kimentünk csillagot nézni. Érdekelte a Nagymedve, az Oroszlán Szíve és a Dél Keresztje. A Jupitert már fényéről és hideg színéről megismeri. Még nincs négy éves.
Elmeséltem neki, hogy a Jupiter a föld jótevője, mert megment minket az aszteroidáktól, - a világűrben száguldó kőszikláktól, - az üstökösöktől, egyszóval mindentől ami bajt csinálhatna.
A dínók iránti érdeklődése kapcsán azt már korábbról tudta, hogy egy nagy aszteroida becsapódás miatt a légkörbe kilökődött por, hamu füst miatt eltűnt nap miatt nem maradt zöld, amit a dínoszauruszok ehettek volna és kipusztultak.
Csillagvizslatásunk után három nappal, az esti mesénél azt kérdezi Noah"...Nappapa! A Jupiter miért nem mentette meg a földet attól a sziklától ami kipusztította a dínókat?....."
Ahogy mondom, még nincs négy éves, - másfél éve, akrata ellenére Polinéziához van kötve, - ugyanakkor már vinni kellene a Planetáriumba, a Nemzeti Múzeumba, állatkertbe, moziba, bábszínházba és sorolhatnám.
Itt Bora Borán ezek egyike sem csiszolhatja agyacskáját. Ezt ő is tudja és elmondja az iskolájában a gyerekeknek, a tanárainak, hogy mindez megadatik neki egyszer, ha hazamehet Magyarországra. A szavait jegyzik,mert Noah lassan komoly nemzetközi ügy, és....hát... soha nem lehet tudni...!
Naponta akarja megígértetni velem, hogy "...ugye hozol nekem útlevelet Budapestről! Beleírod a nevemet, és a fényképemet is ragaszd bele, hogy Papeetéről a nagy repülővel, amin alszunk is, hazarepülhessek Budapestre....."
Ilyenkor csendben vagyok, nem tudok megszólalni! Részben, mert elszorul a torkom, másrészt, mert ezt nem tudom megígérni!
2013. április 16., kedd
Letter of Patri's father
Mr. Soo Il Lee,
It will be five years in June that I handed over my daughter Patrícia to you. You might remember my wedding speech. I said Patri is a lucky girl, she has two fathers, Kovács and Nyíri, they love her dearly and both of them want her to be treated even better than these two men ever treated her. She deserves it. She is a lovely and lovable person, can love and should be loved and from then on it is her husband’s responsibility to look after her with decency, understanding, love and care.
None of the above did you fulfil. The contrary! You did everything a man should not do to any woman, especially not with his wife. It is a pity! You had everything in your hand that can and should make a man happy. A beautiful loving wife, decent, well-paying work for both of you in internationally reputable banks, and, the most important of all blessings, a healthy, clever, adorable little son, Noah. What else would a man need? You had it all but your violent treatment of everything and everyone, - including Patri and Noah, - your continuous aggression managed to spoil it all. It destroyed your marriage, it destroyed your professional carriers, - as top-university masters graduates selling black Tahitian pearls now in Vaitape Bora Bora, - and is damaging your little son week after week.
Today, on Easter Monday all of you should be here in Hungary with the large family, going with Noah, your little man, from friends’ house to friends’ house „sprinkling” the girls with perfume as it is a beautiful custom for young boys and men and has been done for centuries here in this country. Religion, customs, family friends are the building blocks that make us what we are. These are the elements that give us our identity, that make us all useful, respected and happy members of our own countries, societies and families. This is what you deprive your son, wife and yourself from. You took them away from everything that is dear to any decent person and family, from their land, from their customs, from their friends and belief.
I should have known, when I saw the great white shark on your wedding table, and the oceanic white tip shark on the tables of your wedding guests. Just like a year later, when I saw the head of your newborn baby Noah’s head put in-between the jaws of a recently purchased great white shark stuffed animal. Insane, dangerous and shows the inside of a man, a father that does not respect life, integrity and rights of a new born little boy. Using him as a toy, as an object, just like you are doing today.
I should have understood, - but of course I did not, - that it is not a good looking, well built, kind, highly intelligent man that my daughter fell in love with and married, but a most dangerous predator, who does not care about anyone and anything, - be it his wife, be it his son, be it any person that is close to him, - but about himself. By now we know that what you care about is to have it only and exclusively your way, and only your way. There is no other alternative that can exist next to yours, and at the end of your way there is nothing else but money and money and again only money. Plus pain, loss and destruction. Destruction of a fantastic Hungarian-French little boy, his future life, the humiliation and destruction of a great lady, a loving wife, a respected professional and friend of her society and environment and last but not least the destruction of your work environment wherever you have worked. Be it the US or be it in Japan.
On Easter Monday I am writing these lines to try to reach your mind and try to make you understand, you can destroy a family, or two, you can destroy your wife, but one day Noah will grow up and he will judge you! In fact he is already judging you and speaks about it. Maybe it is not too late.
It will be five years in June that I handed over my daughter Patrícia to you. You might remember my wedding speech. I said Patri is a lucky girl, she has two fathers, Kovács and Nyíri, they love her dearly and both of them want her to be treated even better than these two men ever treated her. She deserves it. She is a lovely and lovable person, can love and should be loved and from then on it is her husband’s responsibility to look after her with decency, understanding, love and care.
None of the above did you fulfil. The contrary! You did everything a man should not do to any woman, especially not with his wife. It is a pity! You had everything in your hand that can and should make a man happy. A beautiful loving wife, decent, well-paying work for both of you in internationally reputable banks, and, the most important of all blessings, a healthy, clever, adorable little son, Noah. What else would a man need? You had it all but your violent treatment of everything and everyone, - including Patri and Noah, - your continuous aggression managed to spoil it all. It destroyed your marriage, it destroyed your professional carriers, - as top-university masters graduates selling black Tahitian pearls now in Vaitape Bora Bora, - and is damaging your little son week after week.
Today, on Easter Monday all of you should be here in Hungary with the large family, going with Noah, your little man, from friends’ house to friends’ house „sprinkling” the girls with perfume as it is a beautiful custom for young boys and men and has been done for centuries here in this country. Religion, customs, family friends are the building blocks that make us what we are. These are the elements that give us our identity, that make us all useful, respected and happy members of our own countries, societies and families. This is what you deprive your son, wife and yourself from. You took them away from everything that is dear to any decent person and family, from their land, from their customs, from their friends and belief.
I should have known, when I saw the great white shark on your wedding table, and the oceanic white tip shark on the tables of your wedding guests. Just like a year later, when I saw the head of your newborn baby Noah’s head put in-between the jaws of a recently purchased great white shark stuffed animal. Insane, dangerous and shows the inside of a man, a father that does not respect life, integrity and rights of a new born little boy. Using him as a toy, as an object, just like you are doing today.
I should have understood, - but of course I did not, - that it is not a good looking, well built, kind, highly intelligent man that my daughter fell in love with and married, but a most dangerous predator, who does not care about anyone and anything, - be it his wife, be it his son, be it any person that is close to him, - but about himself. By now we know that what you care about is to have it only and exclusively your way, and only your way. There is no other alternative that can exist next to yours, and at the end of your way there is nothing else but money and money and again only money. Plus pain, loss and destruction. Destruction of a fantastic Hungarian-French little boy, his future life, the humiliation and destruction of a great lady, a loving wife, a respected professional and friend of her society and environment and last but not least the destruction of your work environment wherever you have worked. Be it the US or be it in Japan.
On Easter Monday I am writing these lines to try to reach your mind and try to make you understand, you can destroy a family, or two, you can destroy your wife, but one day Noah will grow up and he will judge you! In fact he is already judging you and speaks about it. Maybe it is not too late.
Judgement maintained
The Polynesian Appeal Court maintained the judgement of the decision of the first level, which means: NOAH AND PATRI CAN NOT LEAVE POLYNESIA. They are tied to an island with which they have nothing to do, which is not their home and which will never be. Their home is Budapest, Hungary.
Husband's fraud, falsification of documents, repeated and continuous domestic abuse, child abduction, confiscation of two Hungarian citizen's passports and the obvious absence of jurisdiction meant nothing to the court. They decided everything is acceptable with the first level decision made by a judge who did not listen to Patri, who did not read her file and completely ignored hard evidence.
What in good God is happening in French Polynesia??????
Husband's fraud, falsification of documents, repeated and continuous domestic abuse, child abduction, confiscation of two Hungarian citizen's passports and the obvious absence of jurisdiction meant nothing to the court. They decided everything is acceptable with the first level decision made by a judge who did not listen to Patri, who did not read her file and completely ignored hard evidence.
What in good God is happening in French Polynesia??????
2013. február 1., péntek
Lettre de Krisztina Morvai, députée européenne à Tibor Navracsics, ministre de la justice au sujet de la femme et de l'enfant bloqués à Bora Bora
Chers
Visiteurs!
J'ai fait appel au ministre, Monsieur Tibor Navracsics et au président du
tribunal hongrois compétent au sujet de Patrícia Ny.K. et de son enfant qui
sont bloqués depuis plus qu'une année en Polynésie Française, à Bora Bora et
qui se trouvent dans une situation dangereuse, privés de leurs droits. J'ai
demandé que la compétence de la juridiction hongroise soit reconnue dans cette
affaire et que les autorités hongrois prennent toutes les mesures nécessaires
afin de sauver les droits de cette femme hongroise et de son fils de trois ans
et demi qui se trouvent sans fuite possible sur une petite île, pratiquement en
otage par le mari agresseur et le tribunal polynésien qui n'a pas de compétence
en l'affaire. Dans quelques jours je vais poser une question écrite aux vice-présidents
compétents de la Commission européenne et au Conseil européen afin de demander
qu'ils trouvent une solution adéquate en faisant appel aux ministres de la
justice concernés. J'ai souligné dans ma lettre, entre autres, qu'il faut
absolument éviter que la situation inacceptable de l'affaire de l'écraseur
irlandais se répète où la mauvaise réaction du tribunal hongrois et de la
faiblesse des autorités hongroises ont causé un préjudice grave. Vous pouvez
lire ma lettre ouverte dans la suite.
Amitiés,
Krisztina
Monsieur le
Ministre de la justice, Tibor Navracsics!
La mère ainsi que l'enfant en question – sans compté qu'ils sont de
nationalité hongroise – ont leur domicile fixe et déclarée en Hongrie, dans le
deuxième arrondissement de Budapest depuis août 2009. Ils veulent y retourner
mais ils ne peuvent pas quitter l'île, leur liberté individuelle n'est pas
assurée, ils vivent en danger et en menace continu, complètement privés de
leurs droits. En considération du rapport digne de foi et détaillé de la mère
et de ses proches ainsi que des preuves disponibles (plaintes, déclaration de
témoin etc.), la mère et l'enfant souffrent depuis des années de l'agression
grave de la part du père/mari de nationalité française. (Une étape de ce
processus était – d'après des preuves disponibles – entre autres, des
tentatives d'étranglement répétées, d'agression physique, morale et autres de
la femme en présence de l'enfant. Mais il s'agit également du chantage du père
au suicide commun avec l'enfant ou quand il a menacé sa femme de mort. La
bibliographie juridique de nombreuses affaires pénales et d’agression intra-familiale
de dénouement tragique démontre que les personnes concernées ainsi que les
autorités saisies doivent prendre ces menaces et ces antécédents au sérieux.)
Une procédure pénale relative à cette affaire est en cours en Hongrie,
devant le commissariat du deuxième arrondissement de Budapest. En tant que
pénaliste et spécialiste des affaires d'agression intra-familiale et de
violence conjugale, je suis persuadée que l'enfant mineur et la mère ont besoin
d'aide de toute urgence de la part des autorités hongroises afin qu'ils
puissent exercer leurs droits. Toute tergiversation augmente le danger et
risque la sécurité, l'intégrité
physique et même la vie de l'enfant et de la mère.
Patrícia Nyíri-Kovács en octobre 2012 a déposé une requête auprès du tribunal
de deuxième-troisième arrondissement de Budapest au sujet de la divorce et de
la fixation de la résidence habituelle de l'enfant à son domicile. Bien que le
mari ait déjà commencé le processus juridique au même sujet sur l'île de Bora
Bora, Patrícia Nyíri-Kovács n'accepte bien évidemment pas la juridiction du
tribunal polynésien puisqu'il en possède pas, étant donné que toutes les trois
personnes concernées sont des citoyens des États membres de l'Union européenne.
C'est de Budapest d'où ils sont partis sur l'île et le père ne laisse pas
retourner l'enfant et la mère en Hongrie en violant gravement les dispositions
applicables de la Convention de La Haye sur les aspects civils de l'enlèvement
international d'enfants.
De plus, la justice de l'île polynésienne manque gravement les éléments
constitutifs de l'état de droit et à cause de son caractère arbitraire et de
ses autres particularités elle n'est pas en mesure de prononcer un jugement
impartial qui respecte le principe juridique international de l'intérêt supérieur de
l'enfant, au sujet de l'affaire de droit de la famille de deux citoyens
européens. La famille n'est partie que pour des brèves vacances en famille sur
cette île lointaine, le père faisait semblant de tenter une dernière chance
pour donner une possibilité de réconciliation ce qui a déjà fait partie du
processus d'agression. Il est absolument incompréhensible qu'après ces
antécédents comment est il possible de croire que sur cette île exotique qui
était uniquement une destination de vacances, le tribunal a le droit d'agir
dans l'affaire de divorce de deux adultes européens et dans l'affaire de
fixation de la résidence habituelle d'un enfant et qu'il a même la possibilité
d'enlever l'enfant de trois ans de sa mère. Or, jusqu'ici la Hongrie n'a
malheureusement rien fait pour que cette situation absurde se termine, que deux
citoyens hongrois pris en otage soient sauvés et que selon les normes
européennes et hongroises relatives à la juridiction, la procédure de divorce
et celle de la garde de l'enfant aient lieu en Hongrie de manière européenne et
conformément au principe de l'état de droit.
Je dois souligner encore une fois : il est clair, même pour une personne
incompétente aux affaires juridiques, qu'un voyage sur une île qui se trouve au
bout du monde, des vacances ne peuvent pas donner la compétence de la
juridiction au sujet d'une affaire de divorce et de garde d'enfant au pays de
destination de vacances. De la même manière, tout cela ne peut pas causer le
fait qu'un citoyen ne puisse pas déposer une requête de divorce dans son propre
pays qui a véritablement la compétence de la juridiction en matière
conformément aux législations relatives, car soi-disant il a perdu « la
juridiction de son pays à cause du voyage ». De la même façon, la situation
elle-même est absurde où deux adultes européens ayant de la nationalité d'un
des états membres de l'Union européenne et leur enfant européen qui a également
la nationalité d'un des états membres de l'Union européenne se retrouvent sur
une petite île à propos d'un voyage en famille et qu'ils doivent y vivre le
reste de leur vie parce qu'un juge polynésien le trouve juste ainsi. Evidemment
tout cela n'a aucun sens, en même temps l'affaire va dans cette direction, par
conséquent il est temps que la Hongrie se dresse sur ses ergots pour défendre
les droits de ses citoyens.
La requête de divorce a été déposée en Hongrie le 16 octobre 2012, depuis
trois mois en demi alors.
Dans sa requête, la demanderesse a décrit en détaille le processus
d'agression qu'elle a subi avec son enfant durant les années, y compris les
tentatives d'étranglement et d'autres formes d'agression continue que je ne
souhaite pas détailler maintenant jusqu'à l'intimidation de l'enfant.
La demanderesse a présenté les douleurs psychologiques du petit garçon
qu'il a vécu en conséquence du fait que le tribunal polynésien n'ayant pas de
compétence juridictionnelle, a illégitimement ordonné la garde alternée :
une semaine chez le père et l'autre chez la mère. Et tout cela dans le cadre „d'une
audience” de cinq minutes environ où les questions de violence n'étaient même
pas traitées. Le mari a obtenu la compétence juridictionnelle en falsifiant des
documents officiels, en trompant des autorités et en abusant des passeports
hongrois confisqués de la mère et de l'enfant, cela veut dire qu'il a
clairement commis une série d’infractions. Cependant, après avoir dévoilé et
sanctionné les falsification,s le tribunal polynésien n'a pas annulé le
traitement du processus de divorce qui manque de fondement juridique en matière
de la compétence juridictionnelle.
A côté de tout cela ce n'est qu'un problème « minuscule » que sur
la petite île il n'y a pas d'hôpital, et de pédiatrie appropriée, par
conséquent on ne peut pas soigner la maladie de l'oreille chronique de l'enfant
qui met en danger même son audition. L'enfant se trouve dans un milieu qui lui
est complètement inconnu, où il ne peut utiliser sa langue maternelle hongroise
qu'avec sa mère depuis plus qu'une année, par conséquent il vit dans l'instabilité
absolue, il est en danger extrême.
Parallèlement au dépôt de la requête, un avis d'expert de Zsuzsa Wopera,
directrice de recherche d'université, l'expert la plus reconnue de la Hongrie
en matière de la droit de famille internationale a été déposé qui déclare
explicitement que dans cette affaire le tribunal hongrois possède la compétence
juridictionnelle. La conclusion de l'avis d'expert du Bureau des Affaires de
Droit Civil International du Ministère de la Justice, demandé par le tribunal de
deuxième et troisième arrondissement de Budapest, est essentiellement la même.
C'est pour cela qu'il est absolument incompréhensible pourquoi l'engagement de
la procédure traîne, la prise des mesures provisoires mais nécessaires dans les
circonstances données tarde, ce qui pourrait donner la seule fuite possible de
cette situation dangereuse et inacceptable.
Eu égard à la pratique du droit de famille international, plus le tribunal
hongrois laisse traîner l'affaire, plus l'enfant vit – sans aucune véritable
raison – sur une île lointaine, à laquelle rien d'autre ne l'attache que la
contrainte. Il peut se produire une situation absurde où l'enfant ne
véritablement pas de chance de retourner en Europe, ni en Hongrie, ni en
France, car cette île exotique au bout du monde devient désormais « sa
résidence habituelle », et le père peut le retenir à son bon plaisir même
jusqu'à sa majorité. Autant on comprend la logique derrière cette tactique
diabolique de la part d'une personne assoiffée de vengeance, de caractère
violente, autant il est incompréhensible la passivité du tribunal hongrois et
en générale celle des autorités de la justice et des affaires étrangères.
J'espère que la justice hongroise ne commettra pas un soi-disant
« mauvais traitement à enfants institutionnalisé », mais mettra la
pression avec une décision d'abord provisoire, puis de fond pour que ces deux
citoyens de l'Union européenne et de la Hongrie (la mère et l'enfant) puissent
vivre en Europe, en Hongrie, et non pas sur une île minuscule où le principe de
l'état de droit n'est pas respecté. Pour que ces deux citoyens ne souffrent
plus des « particularités » de la justice locale qui représentent le terrain de prédilection de la
corruption et des intrications. Il est d'autant plus nécessaire et faisable de
faire ces pas de fond que la législation relative du ministère de la justice
stipule la priorité.
Fait à Budapest,
le 28 janvier 2012.
Respectueusement,
Dr. Morvai
Krisztina juriste, députée européenne
2013. január 17., csütörtök
Patri at the Appeal Court of Tahiti Without Lawyer to Plead on her Behalf
In half a day my sister stands in front of the Appeal Court of Papeete-Tahiti defending her right to return with Noah to Hungary, their country of residence. Her defence papers, - prepared and forwarded on time to a Papeete lawyer, - were not handed in to the Court until the morning of the last day before the hearing. There is no lawyer who would speak and plead for her and for her son at the court.
Thieves, rapists, murderers, other criminals have defence lawyers, have well organised defence at courts but my wonderful sister, a great friend a remarkable mother will go to court in half a day without anyone defending her against a most claver man, Mr. Lee, who managed to cheat the Bora Bora authorities, mislead the court with his falsified documents and now employs the best lawyers of Polynesia pushing strongly his interest of taking away Noah from Patri.
The Hungarian Government, - attacked heavily by Mr. Lee,- is now the only support to Patri on the spot. The Paris based Consul of Hungary is in Papeete again to show its strong backing in a case that is anything but a divorce procedure, a case that started as a marriage saving Polynesia outing turned into a criminal matter.
Our prayers go to Noah, Patri, the Consul and anyone in Paris, Bora Bora and in Hungary who supports, assists and helps Patri save her wonderful child and get back their normal life.
Wisdom and understanding should guide the deliberations of the respected judges of the Appeal Court in Papeete. They have the life of many people in their hand and the future of a most wonderful little boy, my beloved nephew, Noah, dreaming to return home to Budapest.
FRENCH VERSION:
FRENCH VERSION:
Patri est à la Cour d'appel de Tahiti sans avocat pour plaider en son nom
Dans une demi-journée, ma sœur se tiendra devantla Cour d'appel de Papeete-Tahiti pour défendre son droit de retour avec Noah en Hongrie, à son pays de résidence. Ses documents de défense, - préparés et transmis à temps à un avocat à Papeete, - n'ont pas été remis à la Cour jusqu'à ce matin, le jour de l'audience. Il n'y a pas d'avocat qui parle et plaide pour elle et pour son fils à la Cour.
Dans une demi-journée, ma sœur se tiendra devant
Des voleurs, des violeurs, des assassins, des criminels ont d’avocat et de leur défense est bien organisée à la cour. Mais ma soeur merveilleuse, une amie fidèle, une mère remarquable ira devant les tribunaux en une demi-journée sans que personne ne la défende contre un homme plus rusé, M. Lee , qui a réussi à tromper les autorités de Bora Bora, tromper la Cour avec ses documents falsifiés et emploie aujourd'hui les meilleurs avocats de la Polynésie poussant fortement son intérêt d'enlever Noah de Patri.
Le gouvernement hongrois, - fortement attaqué par M. Lee, - est maintenant le seul soutien de Patri sur place. Le Consul de Hongrie basé à Paris est à Papeete à nouveau d’aider Patri dans une affaire qui n'a rien à voir avec une procédure de divorce. Il s’agit d’une affaire qui a commencé comme une tentative pour sauver leur mariage en Polynésie et qui s’est transformée en une affaire criminelle.
Nos prières vont à Noah, à Patri, au Consul et à toutes personnes à Paris, à Bora Bora et en Hongrie, qui soutient, accompagnent et aident Patri pour sauver son enfant adoré et retrouver leur vie normale.
La sagesse et la compréhension doivent guider les délibérations des juges respectés de la Cour d'appel de Papeete. Ils ont la vie de nombreuses personnes entre leurs maina et l'avenir d'un petit garçon merveilleux, mon neveu bien-aimé, Noah, qui rève de retourner chez lui à Budapest.
2013. január 12., szombat
Appeal Court Hearing Scheduled for the 17th January in Papeete-Tahiti
Judges of
the Appeal Court in Papeete-Tahiti will decide the fate of my nephew Noah and
of my sister Patri on the 17th January.
Patri appealed against the 13th June court
decision blocking Noah and Patri to return to their normal, legal and only residence
that is here in Budapest-Hungary and gave the - not yet three year old - child to
the father every other week, despite of Noah's rejection to stay with Mr. Lee. Cheated Polynesian authorities, and Court
mislead by Soo Il Lee made this decision at a time when there are serious charges
against Mr. Lee of falsification of official documents, forceful entrapment,
tax fraud, physical- and moral abuse, child abduction. Several of these charges are documented and have
been proven without doubt by now.
Family,
relatives, ex-colleagues and schoolmates, Hungarians and French, Japanese and
Polynesians, are looking at the Appeal Court to give back the normal, everyday
life of a mother and her child, but also give due justice as well to a larger
family. This family has its cherished and respected origins in Alsace-France, it
has high regard for the Republic, has lived their lifes in the past two hundred
years,- since they were forced out of France by invading powers, - in a way
that their local society all along respected them because they always
respected the law, and their trust in
law and God was never shaken. People,
who in the past have never been sidetracked, biased or overwhelmed by any other
consideration but social responsibility and lawfulness, be it politics,
financial interest or personal gains.
Our trust
in the French Juridical System remains unchanged. The world cannot work in any
other way but lawfully. That is our world, the world of the Kraus-Pierre
descendents, the world of the Nyíris.
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